Agriculture biologique: Metro s’associe à Équiterre
Metro devient la première chaîne d’alimentation à s’inscrire comme point de chute dans le cadre du programme d’Agriculture soutenue par la communauté (ASC) d’Équiterre.
Metro devient la première chaîne d’alimentation à s’inscrire comme point de chute dans le cadre du programme d’Agriculture soutenue par la communauté (ASC) d’Équiterre.
Le 15 juin était la Journée mondiale contre la faim, qui nous rappelle que près de 20 millions de personnes meurent de faim chaque année, force est de constater que dans les pays riches, la moitié de ce que l'on produit comme aliments finit dans nos poubelles. Ce documentaire fait état de l'impact humain, écologique et financier de ce gaspillage.
Les États-Unis ont comme objectif d’atteindre 20 % des entreprises certifiées biologiques d’ici 2015 afin de répondre à la demande mondiale pour le marché biologique. Cette initiative ne comprend cependant aucune aide financière supplémentaire au National Organic Program (NOP) pour atteindre ces objectifs. En janvier 2012, c’est 17 281 entreprises qui étaient certifiées biologiques, une hausse de 717 en comparaison avec 2009.
Une nouvelle infrastructure consacrée à la recherche en agriculture biologique sortira de terre au printemps 2013, à Saint-Bruno. Il s'agit d'un investissement de 13,1 M$ assumé quasi entièrement par Québec et Ottawa pour cette Plateforme d’innovation qui sera « de classe mondiale », ont promis ses promoteurs.
Des partenariats entre des entreprises agricoles et des écoles ont pris naissance partout au Minnesota (USA), créant ainsi un nouveau marché pour les producteurs et un approvisionnement en légumes frais et locaux pour les étudiants. Ce documentaire (en anglais) explore les avantages économiques et les défis pour les entreprises, les écoles, les fermes et la communauté, soucieuses d’améliorer la santé et l’éducation des enfants.
Il est grandement exagéré d’affirmer que les fermes familiales sont en voie d’extinction, selon des chefs de file du secteur agricole. À première vue, les chiffres du dernier Recensement de l’agriculture semblent indiquer que les fermes familiales au Canada sont en déclin. Le nombre de fermes régresse, les exploitations grossissent et les producteurs vieillissent.
Les mauvaises herbes résistantes aux herbicides sont une préoccupation grandissante en Ontario. Mike Cowbrough, chef du programme de lutte contre les mauvaises herbes au ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et des Affaires rurales de l’Ontario (MAAARO), affirme que les mauvaises herbes résistantes au glyphosate sont les « espèces qui retiennent l’attention ».
Le Réseau d’avertissements phytosanitaires (RAP) a publié un avis le 10 mai, pour signaler de nouveaux cas de mauvaises herbes résistantes à un herbicide du groupe 2 au Québec. Ils concernent la morelle noire de l’Est, la petite herbe à poux et l’amarante à racine rouge.
La Conférence régionale des élus (CRÉ) de Montréal et ses partenaires ont annoncé, le 10 mai 2012, le lancement des travaux pour l'élaboration du premier Plan de développement d'un système alimentaire durable et équitable de la collectivité montréalaise (SAM).
Grâce à la mise en application de la Norme canadienne sur l'aquaculture biologique, le 10 mai 2012, les consommateurs canadiens pourront désormais choisir des produits d'élevage biologiques certifiés, ce qui comprend les poissons, les fruits de mer et les plantes aquatiques.